mercredi 12 juin 2013

Le mur des cons... sanction pour le journaliste

La France, pays de mal élevé !

Ce que j’ai constaté en Italie, je l’ai aussi constaté en Espagne par exemple. J’ai été très frappée, un soir en Espagne, non loin de la frontière française, d’entendre un groupe de femmes crier à un groupe de nord-africains qui se comportaient mal : « la France, c’est par là-bas ! » Ce phénomène est propre à l’hexagone. 
http://www.enquete-debat.fr/archives/interview-dune-jeune-et-jolie-fille-qui-ne-veut-pas-revenir-en-france-a-cause-du-harcelement-74255 

dimanche 9 juin 2013

"Les lois s'appliquent partout..."

« Les lois s'appliquent partout et il ne peut pas y avoir la moindre rupture d'égalité. » En déplacement samedi à à Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne), le ministre de l'Intérieur a haussé le ton.

C'est cela, pov'con ! Il ne faut surtout pas être père et voir son droit d'accueil bafoué... Procureur qui ne donne aucune nouvelle des plaintes, sauf quand elle n'est pas acceptable.


mercredi 5 juin 2013

Duflot assignée pour complicité de vol

http://maviemonargent.info/2013/duflot-assignee-pour-complicite-de-vol/

Un propriétaire du Vaucluse a déposé une plainte à l’encontre de la ministre du Logement, pour dénoncer les difficultés que rencontrent les bailleurs en cas d’impayés.

Dans la série des petits David…

Jacques Flon, bailleur de logements dans la Drôme et en Ardèche, dénonce depuis longtemps le désavantage des propriétaires en cas d’impayés de locataires. Selon LeDauphiné, qui relate son histoire, l’homme avait déjà écrit à Cécile Duflot afin de lui rappeler le parcours du combattant : larges sommes déboursées, attente de deux ans en moyenne avant de retrouver son bien… Mais face au silence de la ministre, M. Flon a décidé de donner dans le plus médiatique : il a « carrément déposé plainte à son encontre », selon le quotidien.
Visiblement exaspéré, le propriétaire explique dans une missive envoyée au procureur de la République d’Avignon, que « depuis plus de trente ans, la loi protège de manière excessive le locataire indélicat au détriment du propriétaire, au point que les droits de ce dernier sont piétinés par les tribunaux. Mais, au lieu d’abroger ces lois iniques, la ministre du Logement les durcit davantage ».

Un régime particulièrement incitatif à la fraude

Et de faire l’analogie avec d’autres secteurs dans lesquels il n’y a « ni moratoire ni amnistie ». Par exemple, en cas de retard dans le paiement des impôts, le fisc a mis en place des majorations immédiates. Dans la restauration, le fait de partir sans payer, est puni par le code pénal à travers le délit de grivèlerie, explique-t-il dans sa lettre. Autant de réponses immédiates, qui font cruellement défaut, selon lui, aux manquements dans le bail d’habitation.
« Alors, pourquoi les propriétaires bailleurs n’ont-ils absolument aucun recours efficace contre le locataire qui ne paye pas son loyer ou qui dégrade son appartement ? Mme Duflot reste silencieuse sur cette anomalie », déplore Jacques Flon, qui reproche à la ministre du Logement de contribuer « à aggraver des lois niant et violant les droits des bailleurs. »

Il ne « lâchera rien » (encore un…)

L’initiative de Jacques Flon ne devrait pas rester lettre morte. Outre la procédure judiciaire, qui suit son cours, il a déjà reçu, depuis la publication de cet article dans les colonnes et sur le site Internet du Dauphiné Libéré, de nombreuses marques de soutien.

dimanche 2 juin 2013

"Les français se dressent les uns contre les autres"

Christian Clavier  (in):
Je ne comprends pas le procès qui est fait à certains de mes camarades. Les Français se dressent les uns contre les autres, les Anglais, eux, ne cherchent pas de boucs émissaires. Les artistes vivent où ils veulent. On n'a pas reproché à Hemingway ou à Picasso de venir en France, confie-t-il. Moi, j'en avais ras le bol d'être systématiquement pris pour cible en raison de mes amitiés avec l'ancien président. Alors, j'ai pris ma famille, on est partis, et on est beaucoup plus tranquilles. J'échappe à ce qu'il faut bien appeler une chasse médiatique. 
C'est à une régression de type pastorale. Les apports de la révolution agricole sont gommés. On s'illutionne vivre dans un paradis terrestre et quand cela va mal, on cherche un bouc émissaire.
En d'autres termes, c'est le développement d'une mentalité d'abrutis.